Macrocosme, microcosme
Pour se reposer l'esprit, il est parfois bon de se tourner vers la science.
Le hasard m'a portée aujourd'hui vers plusieurs articles de Pierre Barthélémy (Passeur de sciences, blog du Monde). Des bouseux élisant, après de longs mois d'expérimentations in vivo, les productions humaines - et globalement les productions d'omnivores - plutôt que les bouses exotiques, je me suis envolée vers les confins de l'univers et ces trous noirs supermassifs qui se réveillent sous l'oeil des astronomes lorsqu'une étoile vient s'y perdre. La lecture des commentaires y est aussi source de plaisir, point de haine, point de bêtise partisane à l'odeur marigot (de droite comme de gauche).
L'expression d'une envie de comprendre et d'une envie de partager des connaissances sur des sujets dont tout le monde semble se foutre mais qui me font le même effet qu'un texte de Ferré : je ne saisis pas le sens de tous les mots, mais les images qui naissent me dépassent et c'est bien.
Image de la NASA : gaz émis par une étoile en train de se faire aspirer par un trou noir.
AFP/S. Gezari and J. Guillochon
PS : Pour se reposer l'esprit, rien de tel qu'un peu de ménage également...
Man Ray, "Dust breeding" (1920)
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Aujourd'hui, la ligne qui va (de l'infiniment grand à l'infiniment petit)